L’oncologie de précision : une révolution

Créer une biobanque et une infrastructure digitale de premier plan afin de relier les données cliniques de milliers de patients à leurs échantillons tumoraux digitalisés
Catégorie
Recherche
Statut
En cours, recherche de financements complémentaires

contexte  

L’oncologie de précision est en pleine expansion et promet de révolutionner la prise en charge des patients atteints de cancer. Cette approche permet de définir, de manière personnalisée, la meilleure option thérapeutique à apporter à un moment donné. Elle est possible grâce aux récentes avancées scientifiques et technologiques, notamment l’analyse très détaillée des tissus tumoraux.

 

Projet

Ce projet, le Geneva Translational Oncology Program (GTOP) promeut une oncologie de précision basée sur l’analyse des tissus. Pour développer un tel programme, il est nécessaire d’agir à deux niveaux : (1) construire une biobanque qui rassemble les informations tumorales d’un large groupe de patients, ainsi qu’une infrastructure digitale de premier plan (GTO Digital). Cet effort de coordination et de partage de l’information est absolument nécessaire pour commencer à exploiter les données au bénéfice de nos patients. (2) promouvoir la recherche translationnelle et interdisciplinaire qui exploite cette biobanque. Afin de réduire le temps entre une découverte scientifique et son bénéfice pour les patients, des projets translationnels d’envergure avec une composante digitale seront financés (GTO Science Awards et GTO Fellowships).) 
A terme, cette recherche permettra de traiter des tumeurs aujourd’hui incurables. 

 

Chefs de projet 

Professeur Olivier Michielin, Médecin-chef de service, Service d'oncologie de précision, Département d’oncologie, Hôpitaux universitaires de Genève & Professeur ordinaire, Département de médecine, Faculté de médecine de l’Université de Genève

Professeur Mikaël Pittet, Chargé de mission, Service d’oncologie de précision, Département d’oncologie, Hôpitaux universitaires de Genève & Professeur ordinaire, Département de pathologie et immunologie, Faculté de médecine de l’Université de Genève